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Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par
Albert-Marie Schmidt
(octobre 1933)m Il est plaisant de voir un jeune auteur obtenir de
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ge. Il en révèle peut-être aussi certain défaut :
Albert-Marie Schmidt
domine trop constamment et trop aisément son sujet. Non point qu’il l
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éclairée et mondaine. La nouveauté de l’essai d’
Albert-Marie Schmidt
est d’avoir su déceler la corruption secrète de cet art trop parfait,
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viduelle et religieuse de ce fait trop actuel, qu’
Albert-Marie Schmidt
nous restitue au cours de son essai de critique exemplaire. m. « Sa
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. m. « Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par
Albert-Marie Schmidt
(Éditions du Cavalier) », La Nouvelle Revue française, Paris, n° 241,